La Convention de Genève ( » Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants de 1949 « ) défini la torture comme suit :
“ le terme « torture » désigne tout acte par lequel une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales, sont intentionnellement infligées à une personne aux fins notamment d’obtenir d’elle ou d’une tierce personne des renseignements ou des aveux, de la punir d’un acte qu’elle ou une tierce personne a commis ou est soupçonnée d’avoir commis, de l’intimider ou de faire pression sur elle ou d’intimider ou de faire pression sur une tierce personne, ou pour tout autre motif fondé sur une forme de discrimination quelle qu’elle soit, lorsqu’une telle douleur ou de telles souffrances sont infligées par un agent de la fonction publique ou toute autre personne agissant à titre officiel ou à son instigation ou avec son consentement exprès ou tacite.”
A l’occasion de cette journée, le 26 juin 2019 collectif a invité les internautes à les suivre en live sur la page facebook Ufahari Wa Komori afin de les sensibiliser sur les actes de tortures commis au Comores à travers des témoignages de victimes et contribuer à dénoncer celles-ci.
Le dimanche qui a suivi, au rassemblement qui avait lieu à Châtelet, place Joachim-du-Bellay, nous avons tenu à porter de nouveau un message dans ce sens. En plus des intimidations qui se sont multipliées, des cas de victimes de tortures sont de plus en plus remonté depuis le hold-up électoral.