De la nécessité de repenser nos modes de gouvernance pour instaurer une éthique professionnelle. Résumé de l’essai signé Chaïmat Ali, étudiante et militante wafahari lauréate du 1er prix du concours d’éthique professionnelle organisé par le Rotary et l’UNESCO.
Dans notre société, l’individu se définit par son travail et chaque individu dans la sphère personnelle fait appel à la morale. Dans la sphère professionnelle, l’éthique se substitue à la morale. Ainsi, l’éthique pourrait se définir comme la morale appliquée à l’environnement professionnel.
Force est de constater que les grandes entreprises se dérobent à l’éthique et placent bien trop souvent le profit avant les besoins de s’accomplir et de reconnaissance des travailleurs. Est-il possible d’allier profit et éthique ?
Pas sans changer les modes de gouvernance, les pratiques des décideurs et managers qui transmettent les valeurs et instaurent les normes au sein des organisations. De plus, notre société faisant face à des impératifs sociaux et écologiques, l’économie sociale et solidaire ainsi que la responsabilité sociétale des entreprises sont des éléments essentiels permettant d’instaurer l’éthique dans les pratiques professionnelles.
Retrouvez l’essai dans son intégralité ci-dessous :
Chaïmat Ali, Etudiante M1 Stratégie Digitale et Management de Projet, Militante comorienne